Biologie de l’homosexualité

« Biologie de l’homosexualité. On nait homosexuel, on ne choisit pas de l’être »

Par Jacques BALTHAZART
Docteur en zoologie
Chargé de cours à temps plein à l’ULG depuis 2007
Responsable du Groupe de Recherche en Neuroendocrinologie du Comportement au sein du GIGA-Neurosciences de l’ULG

Le jeudi 19 février 2015 à 19h30

20150219 homosexualité.
Pour Jacques BALTHAZART, dans une large proportion, on nait homosexuel, on ne choisit pas de l’être.
Cette théorie qui va à l’encontre de la thèse selon laquelle l’homosexualité serait la résultante d’un blocage du développement de la libido à un stade immature va peut-être permettre à la fois de s’opposer aux idées fausses selon lesquelles l’homosexualité serait un choix ou un penchant qui pourrait être évité ou guéri et conduire à une acceptation plus large de l’homosexualité dans la population, ce qui réduirait notablement la souffrance des personnes concernées.